dimanche 5 juillet 2009

Qui sait que toutes les grandes villes du monde ont pu voir Home en même temps ?


Quel gâchis... la diffusion de "Home" a été vécue en France comme nationale, politicienne au petit pied, et, mais c'est mon opinion personnelle et que la mienne et pas celle de tout le monde qui peut penser différemment, ben oui : la généralisation de l'esprit poster Scandécor ou calendrier des postes sur fond de dissertation de seconde sur sujet sans débat. Bon, ceci dit, c'était très joli et ça ne mange pas de pain.

Au fait, si je vendais Lulu en calendrier ? Je m'égare.

Mais comment se fait il que l'on n'aie pas communiqué en France sur le fait que ce jour là, tout l'appareil français à l'étranger, ambassades, centres culturels et Alliances Françaises s'est décarcassé pour que le même jour, une centaine de pays voient le film, à la télé (parfois sur plusieurs chaînes), dans des projections publiques, de Dar-es-salaam à Montevideo...
Personne : en France, on se limite à se souvenir des 8 millions de spectateurs sur France 2, de la gratuité ou non de son téléchargement, et de l'éventuelle influence sur la partie française des élections européennes.
Dommage, dommage, de ne pas avoir expliqué ce qui se passait, ni parlé de comment le film a été reçu selon les endroits, selon les cultures.

Et qui s'est posé la question qui m'amuse dans cette affaire : les stars planétaires françaises, celle qui sont réellement diffusées et connues partout, sont le plus souvent de vieux loups de mer qui font de jolis films sur la nature. Arthus Bertrand prend le relais de Cousteau, longtemps le seul français connu dans le monde entier. Au suivant !

Strictement inapplicable en Corse


Depuis tant d'années, on cherche en Corse la solution contre la divagation des animaux sur les routes. En général, il faut qu'un élu qu'on aime bien ou quelqu'un de sa famille ait un accident pour qu'on se bouge (exemple : Letia. Plus une vache sur la route).
La solution uruguayenne est incroyable : les vaches ont des droits de passage horaires chaque jour...

Et encore quelques casitas en Uruguay





Décidément, elles me tournent beaucoup dans la tête, les petites maisons de campagne des Uruguayens, qu'elles soient pour touristes ou pour soi. Allez, une dernière livraison, une preuve de plus que la légèreté quant à la réglementation peut avoir aussi de jolis résultats, et que l'absence d'homogénéité peut être source de grande beauté tranquille (mais c'est quand même vrai qu'ils ont quand même beaucoup de place et qu'il rode des dangers partout : Jose Ignacio, par exemple, est en train de devenir un Saint Tropez lourdaud, et c'est tout à fait dommage.