samedi 7 février 2009

Chapeau bas, Monsieur Vikash Dhorasoo


Ça fait longtemps qu'il le fait savoir, mais moi j'ai envie de le dire maintenant : ça vaut la peine de s'intéresser à ce que Vikash Dhorasoo essaie de dire, tout le temps depuis déjà longtemps.
Indomauricien né à Harfleur, il élève ses deux filles comme Obama ("... il est plus important de lire le journal avec ses enfants et de leur faire des bisous devant l’école que d'arriver tôt au travail").
Mais en plus, lorsqu'il était remplaçant (il est footballeur à la retraite : 36 ans), il en a profité pour faire un film sur ce que ressent un remplaçant.
J'en passe, y compris le parrainage de l'équipe Paris Football Gay, mais plus il y aura de mecs comme ça, plus ça sera bien, ben voilà Madame, comme disait Catherine Ringer à Daniela Lumbroso. Il est avec une de ses filles sur la photo, d'habitude il fait exprès de se montrer moins beau qu'il n'est. On ne voit pas sa femme, mais c'est une jolie rousse qui l'a gardé en l'initiant à l'art contemporain, et peut être ses parents communistes (on est près du Havre) ont joué aussi un rôle là dedans. En plus, il veut faire de la politique, mais comme il est hédoniste, ça risque de mettre un certain temps. Mais s'il veut se présenter à Toulon, je suis prêt à me ridiculiser une fois de plus (ceci dit, c'est peut être pas bon pour lui).
Ça commence pas trop mal : il fait des films avec sa femme, et Bertrand Delanoë l'a bombardé chargé de mission pour l'intégration à Paris.

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