lundi 3 décembre 2007

Pour se libérer des traumas familiaux et prendre sa propreté en main librement



Certains d'entre nous souffrent. Que faire, surtout lorsque nous en connaissons les causes ? Et que ces souffrances, trois fois hélas et consternation, rendent la vie des autres difficile et créent d'acides moments.
Chacun a ses traumas, ses phobies, qui empêchent de prendre en main savie, et également de laisser les autres dans leur sérénité. Des traumas sur des détails qui mettent en danger, empêchent votre existence.
Oui, j'ai une solution, testée moi-même : s'approprier ses propres façons de faire.
Un exemple totalement au hasard : vous avez un ami qui vous invite généreusement dans sa petite maison dans un environnement somptueux et exceptionnel ? Vous avez la générosité de lui accorder, quelques trop rares jours, votre délicieuse présence ?
Mais, las et patatras, ces séjours de rêêêve sont marqués de moment dignes des meilleurs films d'horreurs à chaque fois qu'il faut faire le ménage, et que vous tombe dessus un paquet de souvenirs conscients et inconscients qui vous empêchent non seulement de faire le ménage, mais de le laisser faire, une grosse flemmasserie liée à un sens aigu de la culpabilité n'arrangeant rien.
Aller dans un hôtel de luxe ? NOooooon, c'est trop vulgaiiiire. Prendre des domestiques ? NOOOoooOOon, hélas, c'est trop cher.
Mais alors, quelle est ma solution ? Oui, le bonheur peut exister pour vous !
Vous pouvez offrir à votre ami des ustensiles dont les formes vous feront échapper aux damnations involontairement laissées dans les parties les plus sensibles de votre identité par les générations précédentes, aux traumas des clichés enfermants d'une violence normative irrationnelle, tout ce qu'on appelle représentations, qui sont intimes et personnelles mais troublent souvent votre vie sociale.
Parmi vos sauveurs, un sort du lot. Il a osé dessiner en liberté des balais. Non, vous ne serez plus une souillon, vous respecterez vos amis et la propreté de leurs lieux d'accueil où vous pourrez enfin chanter gaiement même au crucial moment des ménages de départ.
Il s'appelle Stefano Giovannoni et il va libérer les pédés angoissés et les femmes à qui l'apparition d'un balai rappelle d'anciennes oppppprrressssions (et accessoirement les fashion victims de tous les sexes, hein, Tina). Bien sûr, il est italien. Et après avoir beaucoup travaillé pour Alessi, il prend de plus en plus d'indépendance. Pour votre liberté et votre sociabilité, votre honneur, votre élégance et votre humour.

1 commentaire:

Cath'rine a dit…

Oui, oui, rêvons d'un balai si beau que tous les jours ressemblent à une fête...avoir hâte de le voir, le sentir, le toucher, une histoire d'amour se forme je le sens...à quand nos retrouvailles cher balai ?